L’élégance est un moyen d’expression qui exprime le mieux la liberté de style. La liberté de mélanger et de coordonner (ou pas) les formes, les couleurs et les matériaux, pour un look unique et éclectique, parfaitement cohérent dans son incohérence, où la seule règle est l’absence de toute règle.
En 1968, Serpent Bohème a dévoilé une danse joaillière captivante qui se poursuit encore aujourd’hui. Gouttes fines en guise de tête et corps ciselé glissant sous des écailles d’or, son motif est une démonstration majestueuse du savoir-faire des artisans de la Maison qui, au fil des ans, est devenu un classique magnétique du répertoire Boucheron. Si, au cours des cinquante dernières années, le motif a pris la liberté de libérer la précieuse goutte des billes d’or qui la couronnaient, s’il a joué avec les matières et les façons de porter Serpent Bohème, et si parfois il a troqué son pavage de diamants pour une palette renouvelée de pierres colorées – turquoise, lapis-lazuli ou nacre –, son esprit est toujours resté inchangé. Ce printemps, Serpent Bohème multiplie son motif, empile ses pièces, s’aventure en boucle d’oreille ou en torque, renouvelant son aura mystérieuse et son goût du mix and match. Son mantra? Personnalité classique et génie du style. A l’image de la femme Boucheron. Avec panache et en toute douceur, Serpent Bohème n’a jamais été aussi libre.
