Fawaz Gruosi: un prénom taillé sur mesure et une prédisposition de conquérant
Avec un prénom qui veut dire vainqueur, Fawaz Gruosi ne cesse de réinventer son propre style. Devenu une référence dans le monde de la joaillerie avec une empreinte distinctive, il inaugure une nouvelle boutique à Londres, pour laquelle il crée une ligne de bijoux qui, cette fois, portera son nom.
En admirant ses joyaux, s’impose l’embarras du choix: talent, audace, goût, simplicité… reflétant une personnalité exceptionnelle. Avec son aura de vainqueur, Fawaz Gruosi est le héros d’un nouveau défi qui sera certainement suivi d’une éclatante réussite.
Flash-back… En 1993, il réalise une révolution dans le monde de la joaillerie. Chez cet homme, qui a été pionnier et précurseur depuis ses débuts avec le diamant noir, la création ne rime pas avec précaution. Après le diamant noir, il y a eu Icy diamond, l’or bruni ou noirci, le galuchat… Et les succès s’enchaînent.
Au fil des années, ce visionnaire ne cesse de se renouveler pour offrir au luxe ses plus belles créations. Ce maître du design connaît l’art de s’exprimer par un esprit particulier. Passionnément créatif et audacieux, il impose ses règles de jeu, relève tous les défis, ne suit pas les tendances, mais les crée tout simplement. Travailleur acharné dont l’exigence intraitable est mise au service de l’excellence, chacun des bijoux qu’il façonne déchaîne aussitôt les passions. Son atout? De son imagination ourlée de magie naissent des œuvres d’art époustouflantes. Une imagination débordante, grâce à laquelle il réinvente les volumes et sublime les pierres et les matières. Soutenue par une insatiable curiosité artistique, valeur de la marque portant actuellement son nom, ses collections continueront de nous surprendre.
Rendez-vous à Berkeley Square, dans la nouvelle boutique londonienne dessinée par le célèbre architecte d’intérieur Francis Sultana. Un écrin d’inspiration Art déco, où les matières sont voluptueuses, à l’instar de celles utilisées pour créer les bijoux: du bronze patiné, du daim ennoblissant les murs, du tweed, des cristaux, du marbre et des velours profonds. La palette, volontairement neutre, est ponctuée de touches de couleur: celles des sofas rouge sombre signés Mattia Bonetti, ou des consoles orange brûlée imaginées par Francis Sultana.
Un décor de 287 m2 digne de l’univers “Gruosien”. A suivre…